Day 22 – Matsuyama, la fin du Henro

Déjà la fin du Henro, mais nous terminons par une journée très chargée puisque nous devons atteindre 4 temples :

le temple 48, le Sairinji

le temple 49, le Jôdoji

le temple 50, le Hantaji

Etrangement ce temple 50 était situé juste à côté d’une station d’épuration

De son entrée on avait une vue assez large sur la ville de Matsuyama, et notamment son château au loin au sommet du mont central

L’enchainement de tous ces temples m’a moins marqué que ceux des jours précédents, notamment car les phases de marche se passaient sur des routes de ville/village et non pas en pleine nature/montagne

Le dernier temple de notre périple, le 51, le Ishiteji avait tout de même quelque chose de particulier de par sa diversité et sa grande activité interne

Il y avait même une grotte mystérieuse que nous n’avons pas exploré à fond

Avant d’en finir définitivement avec Matsuyama il nous fallait rendre visite aux deux spots touristiques de la ville.

Le Dogo Onsen est le premier, c’est le plus vieux Onsen du Japon.

Nous avons choisi le forfait qui nous permettait d’avoir accès à une salle de relaxation en tatami au 1er étage (2F) avec du thé et des gateaux

Ensuite il ne restait plus qu’à aller profiter de ces vieux bains traditionnels dans son plus simple appareil

Dogo Onsen est accollé avec une arcade commerciale avec notamment une boutique entièrement dédiée à la spécialité locale : la Mikan. Nous avons cette fois-ci pu goûter un jus 100%, bien meilleur que l’espèce de Fanta orange de la dernière fois

Le deuxième spot touristique est le château de Matsuyama, construit en 1602 par Kato Yoshiaki

La nuit était tombée, le téléférique fermé, nous avons donc dû monter à pieds et nous contenter d’en faire le tour

Du pied du château nous pouvions tout de même contempler une belle vue nocturne de Matsuyama

ses jardins étaient bien décorés avec de jolis lampions

Enfin nous avons terminé la soirée comme convenu dans un restaurant local proposant le délicieux met du Katsu no tataki (鰹のタタキ ou カツオのタタキ).

Même s’il n’y avait pas de Kokuto Umeshu (l’Umeshu noir de Okinawa) le fait que le resto ait diffusé durant la soirée pleins de titres du 48 (Acchan, AKB, HKT, SKE, …) lui a permis de remonter un peu dans mon estime :p